Cinq propositions pour améliorer le statut des alternants
Les membres de l’ANAF proposent de conserver le Ministère de l’alternance afin d’animer la vie des apprentis et de créer un label des formations en apprentissage pour permettre aux jeunes de choisir un cursus adapté à leurs attentes.
Les trois autres propositions concernent l’université. Selon l’ANAF, l’alternance ne signifie pas une obligation d’insertion professionnelle. Les universités ne doivent pas les empêcher de poursuivre leurs études au niveau supérieur. Pour cela, l’association suggère la refondation du système électoral et démocratique des universités en créant des postes réservés aux apprentis et adapter les scrutions aux rythme de leur formation.
Enfin, elle évoque le développement des formations en alternance dans les matières traditionnelles (formations littéraires, économiques, histoire-géo, psychologie, sociologie...) à l’Université afin d’apporter un soutien pédagogique dans les collèges et dans les lycées.
sur le site de Studyrama.com